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Eliot Teltscher
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Kevin Curren
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Eliot Teltscher
 
Kevin Curren
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178cm
Boy
185cm
68kg
Ağırlık
77kg
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Sıralama
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Past 6 months
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Galibiyet
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Sert
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60 63check
19 Sen 1984
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À Roland-Garros, Dimitrov impressionne et Hurkacz joue à se faire peur Jusqu’à présent, le Top 10 mondial tient parfaitement son rang à Paris. En effet, ils sont déjà 7 à avoir validé leur billet pour le troisième tour et ils pourraient bien l'avoir tous fait, à la fin de la journée. En ce jeudi, ce sont Grigor Dimitrov et Hubert Hurkacz qui ont disposé de leurs adversaires respectifs pour continuer l’aventure.  Hubert Hurkacz, 8e mondial, est passé par toutes les émotions. Dans un match entrecoupé de plusieurs interruptions pour cause de pluie, le Polonais a finalement eu besoin de 4 sets pour se défaire d’un Nakashima très résiliant (6-7, 6-1, 6-3, 7-6 en 3h15). Toujours aussi efficace au service (16 aces, 83% de points gagnés derrière sa première balle), Hurkacz n’a pas brillé par sa maîtrise de la surface, visiblement pas complètement dans son assiette. Se reposant sur sa puissance de frappe (44 coups gagnants, 48 fautes directes), il a fini par faire exploser un Américain toujours aussi accrocheur (45 coups gagnants, 31 fautes directes, 16 aces). Sans briller, il rejoint donc le troisième tour de ces Internationaux de France où il défiera le vainqueur du duel entre Tiafoe et Shapovalov.  De son côté, Grigor Dimitrov a délivré une partition extrêmement solide. Dans un deuxième tour qui avait tout pour se transformer en match piège par excellence, le Bulgare n’a finalement laissé aucune chance à la pépite hongroise de 24 ans, Fabian Marozsan (43e). Collé à sa ligne, Dimitrov a parfaitement distribué le jeu, faisant vivre un vrai calvaire à son adversaire. Très à l’aise, il a enchaîné les coups gagnants des deux côtés (34 coups gagnants, 18 fautes directes, 7 aces), s’imposant en à peine plus d’1h30 de match (6-0, 6-3, 6-4). Redoutable en retour de service (7 breaks réussis), il n’a jamais laissé respirer un adversaire pourtant dangereux et continue sa montée en puissance. Après une saison sur ocre assez moyenne, le joueur de 32 ans pourrait bien profiter de Roland-Garros pour se relancer au meilleur des moments. Au prochain tour, il devrait retrouver un adversaire largement à sa portée puisqu’il affrontera Zizou Bergs, issu des qualifications et tombeur de Tabilo au premier tour (3-6, 7-6, 6-2, 6-2).
Zverev a parfaitement digéré Nadal et maîtrise Goffin pour rallier le 3e tour à Roland-Garros Pas de gueule de bois pour Alexander Zverev après sa victoire ultramédiatisée de lundi sur Rafael Nadal. Tout en maîtrise, il s'est parfaitement reconcentré sur la suite de son tournoi, dominant un bon David Goffin en trois sets (7-6, 6-2, 6-2) et un peu moins de 2 heures et demie. La première manche a été très accrochée, l'Allemand ne faisait la différence qu'au tie-break, avant de dérouler son tennis dans les deux manches suivantes. Demi-finaliste des trois dernières éditions de Roland-Garros et vainqueur du Masters 1000 de Rome il y a 10 jours, le n°4 mondial semble s'affirmer un peu plus comme un très sérieux prétendant au titre cette année à Paris. Zverev aura l'occasion de continuer à le confirmer au 3e tour, où il affrontera, samedi, soit Tallon Griekspoor, soit Luciano Darderi.
Mannarino et la terre battue, un désamour évident : “Je ne prends aucun plaisir” Le tennis est un sport fascinant. Selon la surface de jeu, le niveau de certains joueurs peut varier de manière assez impressionnante. Si il a toujours existé des spécialistes de l’ocre, habitués à écumer les tournois sur terre battue tout au long de l’année, l’inverse existe aussi. En effet, plusieurs joueurs ont une vraie aversion pour la surface. C’est notamment le cas de l’un des meilleurs joueurs de la délégation française : Adrian Mannarino. Le Français, 22e mondial cette semaine, a toujours eu le plus grand mal à adapter son tennis à la brique pilée. Cette saison en est peut-être l’exemple le plus parlant. En 2024, il a joué 5 tournois sur terre battue et compté 5 défaites (Auger-Aliassime, Gasquet, Zhang, Darderi, Zeppieri) et un seul set de gagné. Malheureusement pour le public français, Roland-Garros n’a pas fait exception. Opposé à Giulio Zeppieri, 148e mondial et issu des qualifications, Mannarino n’a fait illusion qu’un set, s’inclinant très largement par la suite (4-6, 6-2, 6-1, 6-2). Interrogé en conférence de presse, le divin chauve ne s’est pas caché : “Je me bats mais je ne prends aucun plaisir. Je ne vois pas l’intérêt de jouer sur des terrains complètement pourris où il y a des faux rebonds tout le temps. Tu sais jamais comment la balle va rebondir.” Cela dit, le joueur de 35 ans est loin d’être le seul dans ce cas. On peut par exemple citer la réaction de Kovacevic suite à sa défaite face à Dimitrov au premier tour de Roland-Garros (6-4, 6-3, 6-4) : “Je suis ravi que ce soit terminé !”
Trop friable, Parry s’incline face à Svitolina Ce n’est pas passé loin pour Diane Parry. Sur un court Philippe Chatrier encore une fois très peu rempli, la Française n’a pas été ridicule, mais a finalement callé face à une Elina Svitolina toujours aussi solide (6-4, 7-6 en 1h52). Bien dans son match, l’Ukrainienne a d’abord dominé les débats, exerçant une pression constante sur son adversaire. Pressante à chaque jeu de retour, se procurant 14 balles de break sur l’ensemble du match, la 19e mondiale semblait se diriger tout droit vers une victoire tranquille (6-4, 4-1). Finalement, la jeune Française s’est réveillée. Montant en agressivité, elle a récupéré ses deux breaks de retard, forçant même Svitolina à servir pour rester dans le set. Ce réveil tardif s’est révélé insuffisant puisque la quart-de-finaliste du dernier Roland-Garros a parfaitement géré le tie-break du second set pour se qualifier.  Au prochain tour, elle affrontera la vainqueure du match entre Pavlyuchenkova et Bogdan.
Tsitsipas ne veut pas s’emballer : “J’aime me concentrer sur mes matchs indépendamment du reste” Stefanos Tsitsipas est l’un des hommes forts de la saison sur terre battue. Titré à Monte-Carlo, il arrive à Paris plein d’ambitions. Après un premier tour costaud face à un très bon Fucsovics (7-6, 6-4, 6-1), il a su éviter le piège Altmaier au second tour (6-3, 6-2, 6-7, 6-4). Qualifié pour le troisième tour, le Grec prend de plus en plus de lumières.  Conscient que cette visibilité peut lui causer des torts, le 9e mondial veut rester concentré sur chaque match et ne pas trop se projeter. Face à la presse, il a expliqué : “J'aime me concentrer sur mes matchs indépendamment du reste, et ne pas regarder qui je pourrais rencontrer en quarts de finale ou en demi-finales. Ce que j'ai appris grâce à cela, c'est que parfois mon imagination est grande et qu'elle s'emballe. Parfois, elle est libre et vagabonde, et je m'imagine déjà en train de jouer contre un joueur, alors que je devrais me concentrer sur le présent et penser à la manière de battre l'adversaire contre lequel je suis en train de jouer. Je veux donc éviter de laisser mon esprit être trop libre et trop créatif.” (propos relayés par L’Equipe).
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