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cececmans

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hello les gars.
* I am happy to know you
* yeah yeah yeah o yeah
  • Haber
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Slt tout le monde encore une bonne journée de tennis à venir demain....allé mes chouchous:

Kerber - Garcia. Let's go miss Garcia ?%??

Nadal - marterer allé nadal
seb.fernet92
La belle defaite bien sur decevante de Garcia
more_vert
Bonjour tout le monde!!!

Joli programme pour cette journée de tennis

Thiem - Nishikori que le meilleur gagne

Katsatkina - Wozniacki et oui bel affiche

Kontaveit - Stephens pfff

Mais Bon je vais me ragaler
more_vert
Encore Une belle journée de tennis qui s'acheve mes chouchous ont tout simplement corrigé leur adversaires et C'est manifik

Aller nadal

Aller Garcia
more_vert
Slt tour le monde que ça fait plaisir de vivre Une autre journée de tennis plusieurs matchs interessants.....mes favoris

Nadal-gasquet: allé Richard ce sera difficile pour toi

Begu-Garcia: allé Garcia pour les 1/8 finale

Masha-pliskova
seb.fernet92
Tu as encourage Richard alors que t'es fan de Rafa un petit probleme la no?
ExtraRafa
Allez Rafa
more_vert
Le tennis français a vraiment beaucoup de carences et s'est pas prêt d'être fini...quand on pense que la génération(Monfils Tsonga Simon Gasquet et meme paire)n'a rien pu faire face aux meilleures laisse vraiment perplexe.....des joueurs qui ont du talent les uns autant que les autres n'y arrivent pas...l'écatombe français continue dans ce RG...et les derniers espoirs reposent sur une femme ah bah oui on a touché le fond
seb.fernet92
Qui perdra quelque jour plus tard dommage pour elle elle fera mieux la prochaine fois elle ont peut y croire pas ls autres.
more_vert
Mdr C'est Une blague svitolina s'est faite battre....Les GC decidemment ne lui reussissent guère....en même temps je sentais cette defaite se profiler
more_vert
Buzarnescu - svitolina rencontre plutot interessante Mais avantage à elina....

Si buzarnescu est dans Un Bon jour Elle Peut créer la surprise...hmh???difficile de dire que va l'emporter
more_vert
Ah trop happy mes chouchous ont gagné aujourd'hui et je vais bien dormir
more_vert
Je meurs d'impatience mes favories joueront enfin de soirée nadal et Garcia régaler moi c'est tout ce que je veux de votre part
more_vert
J'ai fait Un rêve Dans lequel Caroline Garcia brandirai le trophée de RG dans 2 semaines!!

Hahahahahah????...quel doux rêve!!
Emerrik
Moi de même j'aimerais bien c'est une battante prions que ton rêve s'accomplisse???
FedNumber1
Après sur l'échelle d'un tournoi, elle a montré en fin de saison dernière que tout était possible !
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Et la célebrité
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Kristina Mladenovic : «Je ressens beaucoup d'ondes positives»

Quart de finaliste l'an dernier à Roland-Garros, Kristina Mladenovic revient avec «beaucoup d'ambition» cette année, malgré des résultats en demi-teinte.



«La semaine dernière, vous avez abandonné au premier tour du tournoi de Rome, contre Sevastova. Comment allez-vous depuis ?

À Rome, en début de semaine, je n'étais pas bien. J'étais malade et j'avais des vertiges, comme ça peut arriver à n'importe qui (sourire). Mais, ça s'est réglé rapidement, j'ai pu disputer le double avec Timea (Babos) le surlendemain. C'est loin maintenant, j'ai commencé une bonne préparation pour Roland depuis dimanche dernier.



Quel effet ça vous fait de revenir ici, après tout ce qu'il s'est passé l'an dernier ?

Je reviens ici avec de très bons souvenirs, de bonnes sensations. C'est très plaisant de revenir sur un tournoi que l'on adore, où l'on se sent bien et où l'on y joue bien. Je ressens beaucoup d'ondes positives et j'ai d'excellents souvenirs ici à Roland-Garros. Cette année, c'est une nouvelle édition, un nouveau tournoi qui commence donc je vais m'y préparer le mieux possible et j'espère que ça se passera bien.



Comment appréhendez-vous votre premier tour, contre Andrea Petkovic ?

Andrea (Petkovic) est une grande joueuse. Même si elle est moins performante qu'il y a quelques années, elle reste dangereuse. Nous connaissons tous ses qualités qui l'ont fait intégrer le top 10 (9e mondiale en 2011). J'ai toujours eu des matchs compliqués face à elle. Je me rappelle d'une belle rencontre, contre elle, ici, sur le court Philippe-Chatrier, que je perds en trois sets (au troisième tour, en 2014, défaite 6-4, 4-6, 6-4). Je n'ai pas un bon rapport victoire-défaite face à elle (quatre défaites, aucun succès). Il faudra donc être attentive et concentrée.



Vous avez la possibilité de retrouver Simona Halep au troisième tour. Qu'en pensez-vous ?

Je préfère rester concentrée sur mon premier tour plutôt que d'imaginer comment se passera mon troisième tour. Je vais prendre les matchs les uns après les autres, à commencer par le premier, qui sera compliqué. Et puis, si je gagne le premier, il y en aura un deuxième. Il faut également que Simona (Halep) arrive aussi à ce stade. Il peut se passer beaucoup de choses d'ici là, donc on en reparlera en temps voulu. Je vais avant tout me concentrer sur moi et sur mon jeu.



Vous avez beaucoup de points à défendre sur cette quinzaine avec votre quart de finale l'an dernier (430 points). Est-ce que cela vous rajoute une pression supplémentaire ?

Le principe du classement au tennis, c'est de faire les comptes en fin d'année. Ce n'est pas possible de recopier systématiquement les mêmes saisons. D'ailleurs ce n'est pas ce que je veux, car le but est d'évoluer, d'avancer, de s'améliorer. Il faut essayer d'être le plus performant sur chaque semaine. Là, je suis à Roland, j'ai envie d'aller le plus loin possible, non pas pour défendre mes points, mais pour refaire un beau tournoi. J'ai beaucoup d'ambition.



Enfin, pensez-vous que le retour de Serena Williams soit une bonne chose pour le tennis féminin ?

Oui, pour moi c'est incontestablement la meilleure joueuse. C'est une très grande championne, si ce n'est une légende de notre sport. C'est génial pour le tennis féminin qu'elle soit de retour, ou du moins qu'elle soit toujours là. Si elle est ici, c'est qu'elle s'estime prête et en forme...»
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Roland-Garros : «J'ai mes chances», annonce la n°1 française Caroline Garcia

Pour son premier Roland-Garros dans le Top 10, Caroline Garcia va se reposer sur l'expérience du beau parcours réalisé en 2017 pour tenir son rang. «J'ai mes chances», avance la Lyonnaise.

Jeudi soir, après son entraînement, Caroline Garcia ne s'est pas attardée à Roland-Garros. Elle avait d'autres priorités : regarder la finale de la Ligue des champions féminine, entre Lyon, son club de coeur, et les Allemandes de Wolfsburg. «Je suis arrivé devant la télé à la 86e minute de jeu, souriait-elle ce vendredi. Heureusement, il y avait encore 0-0, tout s'est passé pendant la prolongation...» Et les Rhodaniennes ont fini par l'emporter (4-1), au grand bonheur de la Lyonnaise, qui se prépare à aborder Roland-Garros dans une posture inédite à Paris : celle de la Tricolore la mieux classée.

Sept ans avant de se libérer à Roland

Garcia, leader proclamée du clan tricolore ? «Non, ce n'est pas trop mon profil», soufflait-elle ce vendredi devant la presse. C'est que la Française préfère faire profil bas, surtout à Roland, un événement qu'elle a longtemps eu du mal à appréhender : envahie par la pression négative, elle a eu besoin de sept ans pour passer un deuxième tour dans le grand tableau Porte d'Auteuil. «C'est un tournoi dans lequel j'ai eu des difficultés dans le passé, admet-elle. Mentalement, je n'ai toujours réussi à rester fraîche et positive. L'an passé, j'ai mieux géré tout cela.»



A la clé, elle s'était qualifiée pour les quarts de finale, un accomplissement en forme de libération pour la Française qui avait réalisé ensuite une seconde moitié de saison exceptionnelle. «Ça va forcément me servir d'expérience : ce quart m'a donné confiance dans le fait que je suis capable d'aller loin en Grand Chelem. C'est important de savoir qu'on l'a déjà fait une fois». Ces derniers mois, pourtant, Garcia n'a pas retrouvé le niveau qui avait été le sien à Wuhan et Pékin. «Mais rechercher le niveau de jeu d'un certain moment aurait été une erreur, rattrape-t-elle. A cause de mon nouveau classement, il n'y a pas les mêmes attentes, pas la même atmosphère.»



«Je n'avais jamais vécu ça»

Cette saison, Garcia souffle le chaud (demi-finale à Madrid) et le froid (sortie dès ses débuts à Miami), mais elle estime être sur la bonne voie. «J'ai des hauts et des bas, mais ces dernières semaines, c'est plutôt solide, souligne-t-elle. Globalement, c'est positif, je n'ai jamais réussi un tel début d'année.» C'est donc avec enthousiasme qu'elle aborde Roland, en espérant retrouver l'émotion «unique» ressentie l'an passé au troisième court, quand le public du court n°1 avait «fait la différence» pour lui permettre de renverser Su-Wei Hsieh (6-4, 4-6, 9-7). «Je n'avais jamais vécu ça», dit-elle.



Sortie grandie d'une saison 2017 marquée par de multiples heurts, la Française refuse le rôle de porte-parole du clan tricolore, mais elle n'en assume pas moins ses ambitions, consciente de la fragilité de la hiérarchie du tableau féminin. «Il n'y a pas une favorite plus que l'autre, avance-t-elle. Ces dernières années, il y a des opportunités à saisir. Étant dans le Top 10, j'ai mes chances.» Premier éléments de confirmation attendus au premier tour, face à la Chinoise Ying-ying Duan qu'elle affrontera pour la première fois.
n.duchesne2004
Fais pas ton journaliste, t as juste copie colle fils de pute
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Tableau masculin 15 français et féminin 10 françaises ah entre les femmes et hommes qui quel genre se fera vite éliminer ??mais attention aux femmes surtout avec caro et kiki qui peuvent sortir quelques choses..
more_vert
Allé caroline tu as une très belle carte à jouer j'ai confiance
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PORTRAIT

Caroline Garcia, enfant de la petite balle

Par Rico Rizzitelli, photo Sergio Gisbert pour Libération — 21 mai 2018 à 17:06 (mis à jour à 17:40)

Photo Sergio Gisbert pour Libération

La meilleure joueuse française de tennis est à la tête d’une PME familiale autarcique et revient à Roland-Garros après blessures et polémiques.

Caroline Garcia, enfant de la petite balle

Caroline Garcia se déplace en bande. Pas avec une clique de potes turbulents mais flanquée d’un staff à géométrie variable. A Los Balcones, le club de tennis de Torrevieja, une station balnéaire au sud d’Alicante, elle est accompagnée d’un sparring-partner, d’un attaché de presse, d’Endy, son yorkshire, et de ses parents, partie prenante de l’aventure. La 7e joueuse mondiale arrive de Stuttgart avant de s’envoler le surlendemain pour Madrid, puis de rejoindre Rome, ultime tournoi avant Roland-Garros qui commence dimanche. Une existence bohémienne, régie par les fuseaux horaires et les tournois. «Au fil de la saison, Lyon, le sud de l’Espagne et la Floride nous servent de camp de base. Le reste de ma famille est dans le Rhône mais je ne peux pas dire que j’y vive. On est partout et nulle part à la fois», assure-t-elle. «On est comme les gens du cirque, des nomades déphasés qui ne cessent de défaire leurs valises», poursuit Louis-Paul, son entraîneur de père. La PME Caroline Garcia (7 millions d’euros de gains en tournois) s’avère depuis le départ «un projet familial». «Chacun est à sa place : Mylène (la mère) s’occupe de la logistique, Caroline joue, et le père entraîne», détaille Nathalie Tauziat, ancienne finaliste de Wimbledon, qui a joué les consultantes auprès du clan.



Après avoir pratiqué la danse et le basket, Garcia s’initie au tennis à Villeurbanne (Rhône) dès l’âge de 9 ans. Un sport qui devient vite une vocation. «Elle a commencé à faire ça à fond, et ses parents ont aménagé leur emploi du temps en fonction», se rappelle Muriel Merolle, qui l’a entraînée jusqu’à ses 15 ans. Après une année de 6e, on l’inscrit au Cned, où elle poursuit jusqu’en terminale STG, sans jamais passer le bac. «Mes parents m’ont eue sur le tard avec quelques difficultés. Ils ont fait des efforts pour me mettre au centre et passer le maximum de temps avec moi», raconte la native de Saint-Germain-en-Laye (comme Amélie Mauresmo).



L’intendance et les finances doivent suivre. Louis-Paul abandonne son job de directeur des ventes dans une boîte d’électronique américaine pour prendre en main la carrière de sa fille pendant que Mylène monte une agence immobilière pour assurer la viabilité du projet. «S’investir comme ça, c’est rare. Ce n’était possible que parce que nous n’avions qu’un enfant», reconnaît le paternel.



Comme avec Richard Williams (le daron de Venus et Serena) ou Walter Bartoli (celui de Marion), le monde du tennis a du mal à accepter ces pères qui s’investissent dans le coaching de leur progéniture. Le binôme paie l’historique des relations tumultueuses dans ce registre (Capriati, Rezaï, Dokic, Pierce…). «Caroline et moi avons la volonté commune d’aller contre les idées reçues», avance le pater familias. A les voir constamment ensemble, on se demande comment cette proximité ne produit-elle pas plus d’étincelles. «C’était surtout compliqué à l’adolescence, quand ton petit côté rebelle ressort. Savoir quand ton père est ton coach ou lorsqu’il est juste ton père. Maintenant, on a parfois des discussions tendues mais on sait ce qui peut blesser l’autre», promet la Rhodanienne. L’arrivée d’un petit copain dans le game pourrait fragiliser cet équilibre mais il n’est pas à l’ordre du jour : «C’est difficile : soit la personne comprend, et tu vis cette relation à distance, soit elle met sa vie professionnelle de côté, et tu voyages en couple. Moi, pour l’instant, je suis focalisée sur mon tennis. Un jour, ça viendra.»



Tee-shirt rouge, veste noire, visage anguleux, ongles manucurés en rose et regard charbon, Caroline Garcia arbore ce jour-là une Rolex au poignet, offrande d’un de ses nouveaux sponsors. Son ascension dans le top 10 mondial lui a offert de nouveaux contrats mais l’argent ne semble pas être son moteur. «Mes parents m’ont inculqué la valeur des choses. J’essaie de penser avant de dépenser», dit-elle. Si ses résultats de l’automne 2017 l’ont propulsée dans l’élite de son sport, le début de l’année dernière a ressemblé à un long cauchemar. Fin 2016, le dos en capilotade, elle annonce qu’elle va diminuer sa participation aux doubles, où elle brille avec Kristina Mladenovic, sa coéquipière en sélection, et qu’elle renonce à la Fed Cup, l’épreuve internationale par équipe. Début 2017, ses douleurs sciatiques («elle ne pouvait même plus nouer ses lacets», dit Jérôme Simian, son préparateur physique depuis lors) la poussent à renoncer au double. Elle informe Mladenovic par texto. C’est le début de la tempête. Ses coéquipières en sélection la répudient, son ex-partenaire, avec qui elle a gagné Roland-Garros en duo, évoque son ingratitude vis-à-vis de la fédération, son manque d’autonomie et de curiosité intellectuelle. Des assertions aussi cruelles qu’injustes. La bonne élève introvertie se retrouve au milieu de la cour de récré pour de mauvaises raisons. Elle le vit mal. Son clan se resserre. «C’était violent, j’ai beaucoup discuté avec mes parents. Ça m’a permis de comprendre comment je fonctionnais, ce qui pouvait m’atteindre. J’ai aussi fait appel à quelqu’un qui m’aide à gérer mes émotions, à savoir les exprimer», confie-t-elle. Un préparateur mental, un psy ? On ne saura pas.



Outre son âme, Caroline Garcia a dû reconstruire un corps en lambeau avec l’aide de Jérôme Simian : «Elle n’est pas là par hasard, elle est engagée dans une mission. Quand elle est ballottée désormais, elle se repose sur sa technique et fait confiance à son corps.» Catholique, «pas vraiment pratiquante mais [elle croit] qu’il y a quelque chose au-dessus, peu importe comment tu l’appelles», elle est allée se ressourcer l’an dernier dans le sud de l’Espagne, au pays de ses arrière-grands-parents, partis à la fin du XIXe siècle migrer en Algérie, où son père est né. Caroline a appris la langue de Rafael Nadal à l’école et paraît vouloir conserver ce lien avec ses racines lointaines. Manière de boucler la boucle, d’honorer sa tribu comme de retrouver ses petits cousins qu’elle «ne voit pas grandir», ce qu’elle fera cette semaine à Lyon.



Il y a un an, elle était entre Rhône et Saône pour voter au premier tour de la présidentielle. «On vit dans notre bulle mais j’essaie de rester en contact avec la réalité de mes proches, même à l’autre bout du monde.» Au second tour, elle a fait une procuration. Dans les deux cas, elle ne dira pas pour qui. A Roland-Garros, elle ne pourra pas se cacher, en revanche. «Je fais du tennis pour repousser mes limites. C’est un sport individuel mais tu concrétises le travail d’une équipe. C’est un partage, notamment avec ma famille.» Elle y revient toujours.
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Allez garcia je suuis avec toi
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